La musique adoucit les moeurs

Publié le par Chris



Fin Septembre je me suis délectée de la musique du concert d'ouverture de l'orchestre national de Lyon.

C'était beau. Quand j'écoute de la musique, je ne pense à rien, quoi que ! En regardant l'orchestre, je me suis posée les questions suivantes :

   - le chef d'orchestre est-il vraiment utile ? Sans lui les musiciens n'arriveraient-ils pas à jouer ? En effet, à force de répéter et en suivant la partition, je pense qu'ils peuvent jouer sans lui. Auquel cas le chef d'orchestre n'aurait qu'une fonction décorative ?

   - les musiciens prennent-ils toujours du plaisir à jouer ? connaissent-ils le syndrôme de la routine du travail ?

   - A quel âge les musiciens ont-ils commencer à apprendre la musique ? Ont-ils choisi leur instrument ou leur a t'il été imposé par leurs parents durant l'enfance ?

Toujours autant cérébrale, je vous l'accorde, mais aucun questionnement sur moi-même ou ma vie, ce qui est déjà pas mal malgré tout ! Qu'il est bon de pratiquer l'auto-dérision !

En tout cas je pense que l'apprentissage d'un instrument de musique demande beaucoup de travail, de pratique et de sacrifices.



ci-dessous les deux seules musiques que j'ai trouvées concernant le concert d'ouverture auquel j'ai assisté



Le concert entier c'était ça :

Concert d’ouverture «Capriccio italien»

Giuseppe Verdi Ouverture de La Force du destin [8’]
Nicolò Paganini Concerto pour violon et orchestre n° 1, en mi bémol majeur [20’]
Piotr Ilyitch Tchaïkovski Capriccio italien, op. 45 [15’]
Sergueï Prokofiev Roméo et Juliette (extraits) [30’]
Nino RotaLa strada (extraits de la suite du film) [30’]

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